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Top 8 des plats à goûter au Tadjikistan

La dégustation des spécialités culinaires du Tadjikistan est un temps fort de tout voyage dans le pays. Non seulement les plats sont à base de produits savoureux et frais produits localement, mais par l’emplacement du Tadjikistan sur la Route de la Soie pendant des siècles, sa cuisine nationale cosmopolite a été façonnée par des influences venues de Chine, de Russie, de Perse et du sous-continent indien. Voici les huit meilleurs plats qui distinguent la cuisine tadjike de celle des pays voisins:

 
 
 

Oshi Palov Le plat national est le palov ou plov, plat à base de riz sauté comparable au biryani iranien ou au riz pilaf. Mangé avec les mains dans une assiette commune, il exalte les saveurs du bœuf, des fruits secs, de l’ail rôti et des carottes râpées. Comme dans tous les pays d’Asie centrale, le plov est le plat le plus populaire de la cuisine tadjike. Bien qu’il soit cuisiné dans de nombreux pays voisins, le plov tadjik a sa propre spécificité. Ce plat est servi avec des variantes locales dans chaque région et en tant qu’invité d’honneur au Tadjikistan, il vous sera certainement proposé. Isfara, Pendjikent et Khodjent sont particulièrement réputées pour leur plov.

 
 
 
Top Tajik Dishes

Qurutob L’autre plat national est le qurotob, réalisé à partir de boules de fromage salé diluées dans l’eau, puis versées sur un non (pain plat). On recouvre le tout d’oignons frits chauds, d’un peu d’huile de lin ou de beurre fondu, et on le sert avec une salade de tomates, de concombre et de poivrons. Le qurotob est très populaire dans les régions montagneuses (sauf dans la vallée de Ferghana où on le sert rarement). Fait exceptionnel pour un plat tadjik, le qurotob convint au régime végétarien. C’est à Kulob que l’on mange le meilleur qurotob.

 
 
 

Sambusa ou somsa sont les samoussas du Tadjikistan, témoins de nos liens anciens avec le sous-continent indien. Beignets triangulaires de pâte remplis de légumes et de viande, ils sont frits et délicieux, faciles à emporter pour un pique-nique. Les végétariens peuvent trouver du sambusa farci de citrouille et d’herbes sauvages cueillies dans les montagnes. Si vous aimez vous remplir la panse de ces collations grasses, faites un tour à l’Ambaroy’s Sambusa, situé dans le Bazar Panchshanbé à Khodjent.

 
 
 

ShirChoy est le plat principal sur la dastarkhan (nappe) des Pamiris au moment du petit déjeuner. Cette boisson se compose de lait, eau, thé, beurre et sel. Pour faire un shirchoy vous devez ajouter le thé à l’eau chaude, puis le lait et le faire bouillir pour réduire le liquide. Seulement alors vous ajoutez le sel et le beurre. Cette boisson calorifique aide le corps à survivre aux conditions difficiles dans les régions montagneuses.

 
 
 

Oshi burida L’ingrédient principal de cette recette, cuisinée essentiellement dans la partie centrale du pays, est le siyohalaf (oignon de montagne). Cette plante semblable à une herbe pousse dans les hautes montagnes et n’est comestible qu’au printemps avant sa floraison. On consomme ce plat pour ses vertus médicinales plus que pour son goût : il est riche en iode, et lorsque vous le faites cuire, sa couleur passe du rose orangé au violet. Il doit être consommé avec du riz et du chakka (lait caillé)..

 
 
 

Kichiri est l’un des plats les plus anciens consommés au Tadjikistan, et vous ne le trouverez pas dans les cafés ni les restaurants locaux. Il est préparé seulement dans les cuisines familiales dans le nord du Tadjikistan, où le haricot mungo est l’aliment de base de la nourriture. Le kichiri est peu courant de nos jours, car peu de jeunes en connaissent la recette ou font l’effort de la cuisiner. La différence entre le shuala moshak, plus connu et le kichiri est que pour faire le kichiri, les haricots mungo et le riz doivent être broyés pendant une heure avec une grande cuillère en bois. L’utilisation d’un mixeur ne donne pas un résultat aussi savoureux que le broyage à la main. Le kichiri est un excellent choix pour les végétariens, car il est délicieux et riche en protéines. Ses ingrédients principaux sont du riz, des haricots mungo, des carottes, des oignons, et de l’huile. La sauce peut être faite à partir de lait caillé, d’huile de lin, ou de tomates et oignons.

 
 
 

Damlama est le ragoût de légumes du Tadjikistan, cuisiné avec de l’agneau ou de bœuf. Plat assez répandu, il offre une bonne occasion de goûter les saveurs des légumes tadjiks. C’est un bon choix pour les végétariens, et les randonneurs, car il est facile de cuisiner, même à haute altitude et à basse température. Le damalama est fait à base de pommes de terre, d’oignons, de tomates, de paprika, de chou, d’huile végétale, de légumes verts, de basilic et de carvi. Il se marie bien avec toutes les viandes.

 
 
 
Javari National Tajik dish

Javari est une soupe est faite à partir d’une légumineuse locale appelée javari. Il est peu probable que les touristes étrangers en aient goûté avant. Il a pour ingrédients des oignons et des carottes finement tranchés, du bœuf, de l’huile et des haricots mungo. Ce sont ces fèves qui rendent le javari si différent des autres soupes. La plupart des touristes découvrent ce plat au restaurant et, l’appréciant, ils en demandent la recette au chef

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